Responsabilité en matière de morsures de chiens: Lois et jurisprudence de l’Indiana

Nos avocats en matière de morsures de chiens de l’Indiana s’appuient sur les lois et la jurisprudence de l’Indiana suivantes pour comprendre les nuances de la loi sur les morsures de chiens dans l’Indiana. Comprendre ces informations peut être très important pour votre cas.

Code de l’Indiana § 15-20-1-3

Cette loi définit les éléments qui imposent la responsabilité des morsures de chiens aux propriétaires de chiens. La responsabilité est imposée lorsqu’un chien, sans provocation, mord une personne, qui agit pacifiquement, et qui se trouve dans un endroit où le propriétaire du chien a un devoir de diligence. La loi de l’Indiana stipule en outre qu’un propriétaire de chien est responsable dans l’Indiana même si le chien ne s’est jamais comporté auparavant de manière vicieuse. Il est expliqué dans les commentaires de la loi, qu’un propriétaire de chien a le devoir absolu de prévenir les blessures de quelqu’un d’autre par morsure de chien si la victime se trouve légalement sur sa propriété ou si le chien mord la personne dans un lieu public. De plus, un propriétaire de chien doit à un intrus le devoir de ne pas faire preuve de négligence en confinant son chien dans sa propriété.

Plesha v. Edmonds, 717 N.E. 2d 981 (Ind. Tomodensitométrie. App. 1999)

Cette affaire illustre le devoir qu’un propriétaire de chien doit à un intrus. Dans ce cas, les enfants du quartier coupent régulièrement la propriété des Pleashas afin de se rendre dans un terrain de balle molle du quartier. Les Plaidoyers en étaient conscients et continuèrent à le permettre. Une ordonnance du comté exigeait que les chiens soient tenus en laisse, en chaîne ou confinés dans une clôture sur la propriété du propriétaire du chien. Les Pleshas n’avaient pas de clôture, mais permettaient à leur chien d’errer librement dans leur propriété. Lorsque l’un des enfants du quartier a été mordu par le chien des Pleshas alors qu’il traversait le terrain de balle molle, les Pleshas ont été tenus responsables des blessures de l’enfant. Cette affaire montre clairement que si une ordonnance locale réglemente le confinement de son chien et que cette ordonnance est violée entraînant des blessures, le tribunal jugera probablement le propriétaire du chien négligent.

Stewart c. Ville d’Indianapolis, 798 N.E. 2d 863 (Ind. Tomodensitométrie. App. 2003)

Ce cas traite de ce qu’un propriétaire doit faire pour confiner correctement son chien. Dans ce cas, les Stewarts gardaient leur chien dans leur garage avec la porte à peine fissurée pour que l’air puisse circuler. Un enfant du quartier a tenté de ramper sous la porte de garage fissurée et a été mordu par le chien Stewarts. La ville d’Indianapolis a intenté une action en justice contre les Stewarts alléguant la violation d’une ordonnance locale qui réglementait le confinement des chiens. La Cour s’est penchée sur la définition littérale du mot « confiner » et a constaté que les Stewarts avaient, en fait, correctement confiné leur chien parce que celui-ci n’était pas en mesure de s’échapper de leurs biens.

Kessel c. Ins Mutuels Automobiles d’État. Co., 871 N.E.2d 335 (Ind. Tomodensitométrie. App. 2007)

Ce cas traite de ce qui détermine qui paiera pour les blessures d’une victime de morsure de chien. Dans les cas où un propriétaire de chien a une assurance, l’assurance paiera les blessures. Cependant, un tribunal peut ordonner à une personne de payer pour les blessures d’une victime de morsure de chien. Le problème en ordonnant à une personne de payer, c’est que si elle n’a pas d’argent ou d’actifs, cela peut prendre des mois ou des années avant que la partie lésée ne soit jamais payée.

En règle générale, l’assureur du propriétaire du chien tentera de trouver des failles dans ses polices afin qu’il n’ait pas à payer. En l’espèce, la compagnie d’assurance responsabilité civile a utilisé les petits caractères de sa police pour faire valoir qu’elle n’était pas responsable parce que la morsure était survenue « dans le cadre d’une entreprise sur la propriété. »Ce langage, combiné aux circonstances uniques de l’affaire, a conduit le tribunal à conclure que la compagnie d’assurance n’était pas responsable.

Baker v. Météo ex rel. Météo, 714 N.E. 2d 740 (Ind. Tomodensitométrie. App. 1999)

Parfois, une personne blessée par une morsure de chien peut se remettre du propriétaire dont le chien du locataire a causé la blessure. Ce cas illustre ce que la personne lésée doit montrer pour prouver que le propriétaire est responsable. Pour que le propriétaire soit tenu responsable, la partie lésée doit démontrer que (1) le propriétaire exerçait un contrôle sur la propriété et (2) le propriétaire connaissait la propension vicieuse du chien. Dans ce cas, le propriétaire savait que le chien s’échappait souvent et poursuivait les gens, mais il ignorait tout comportement vicieux. Cette affaire est importante parce que le Tribunal a défini le terme « comportement vicieux » comme « une propension ou une tendance d’un animal à accomplir tout acte susceptible de mettre en danger la sécurité des personnes ou des biens dans une situation donnée. »L’acte de l’animal, et non l’esprit de l’animal, détermine la propension dangereuse.

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